Parallèlement à la numérisation des archives publiques, les réseaux sociaux sont de vrais outils pour les généalogistes amateurs. Les communautés se réunissent autour de sites tels que Geneanet.com ou FamilySearch, qui complètent les associations, souvent régionales.
Je fréquente régulièrement Geneanet.com, qui permet à ses utilisateurs de publier leur arbre généalogique de manière publique ou privée. Ces données alimentent un moteur de recherche assez puissant. Le site offre également la possibilité de publier d’anciennes cartes postales et de participer à l’indexation de registres publics (état-civil, dossiers militaires anciens, recensement de population). Chaque utilisateur dispose d’une messagerie privée et peut entrer en contact avec les autres pour retrouver un ancêtre commun, demander des précisions ou partager des copies d’actes.
Il existe encore quelques blogs qui ont fédéré des généalogistes et ont perduré, pour donner naissance à des sites Internet spécialisés dans le dépouillement et l’indexation d’actes d’état-civil. Les données sont alors disponibles sous forme de répertoires et de liens hypertextes renvoyant vers les sources.

fort intéressant :), merci pour ce partage !
Sujet super passionnant ! Les archives départementales sont également là pour compléter tout ça ! ;p
Très intéressant, pour voir ses origines c’est une bonne initiative. 🙂